installés par la ville socialiste et écologiste
le temps que tout pousse dans un an ou deux ans,
l'endroit est fait des trous qui sont là bien présents , eux
J’écrase tes belles crasses
J'écarte tes jolies cartes
J'assure qu'ici c'est sur
J’espère, tu perds
Je réalise tes beaux travers
Je sens qu'avec toi c'est dans le mur
Il faut que tu t’éloignes, que tu partes
De toi rien ne peut rester en place
Je compte oublier tes charmants contes
J'envoie ma vie sur d'autres voies
Je m’engage de sortir de cette cage
Je fuis ce qu'avec toi je suis
Mon avenir est loin d'ici
Loin je poserai mes bagages
J'ai d'autres intentions pour mon émoi
J'ai tant descendu, maintenant je monte
J’espace et je passe
J'évite et je fais vite
Je me barre ou tu pars
Sans se voir c'est au revoir
Je réalise qu'il va falloir
Je sens qu'il est venu le départ
Il faut que l'un de nous quitte
De toi rien n'aura plus de trace
Je vais enfin renaître de mes cendres
Je suis un phœnix qui laisse tout derrière
Je brille ailleurs sans tes détours
Je vivrai l'avenir sans me retourner
Mon devenir d'amour sera élevé
Loin je vole de mes ailes ce jour
Je devine un nouveau bonheur à me faire
Je me guéris et j'ai à nouveau tout à prendre
Jorge Mario Bergoglio
né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires
et mort le 21 avril 2025 au Vatican
De son élection en 2013 à sa mort,
il est évêque de Rome, chef d'État du Vatican
et 266e pape de l’Église catholique
sous le nom de François
en latin : Franciscus,
en italien : Francesco,
en espagnol : Francisco,
en anglais : Francis
Il était auparavant archevêque de Buenos Aires.
Premier pape issu des rangs de la Compagnie de Jésus
et premier pape non européen
depuis le pape syrien Grégoire III au VIIIe siècle,
François est aussi le premier pape issu du continent américain
et le premier à prendre ce nom, en mémoire de François d'Assise.
C'est Pâques je quitte mes rêves aux beaux nuages
Pour souhaiter à tous une bonne fête loin de tout orage
Oublions ces maux qui nous font tant souffrir
Oublions l'effroi en nos âmes et commençons à rire
Adieu aux désespoirs qui nous font une immense détresse
Que partent nos peines, que viennent nos joies sans cesse
La couleur blanche et la couleur grise de l’hiver je mettrai à l’honneur
De ce texte qui va dormir son sommeil à la bonne heure
Comme la nature qui s’endort et laissera la saison suspendre et apaiser tout
Les teintes grises, blanches de l’hiver venu s’installent partout
Le bonheur hivernal est tout de même là pour certains
Les sports, les jeux ou les balades dans la neige font la joie de lendemains
Si tout se repose et dort pour la flore et la faune de nos contrées
Reste aux humains quelque plaisir de vivre l’hiver à sa portée
J’esquisse ce jour sur mon poème les plus belles couleurs
De l'été dans un décor enchanté de bonheur
La nature s’éveille et resplendit au zénith de la saison
De ces teintes que j’offre sur mon texte à la population
La joie estivale et colorée qui pour chacun se présente
Efface les tristes pensées et les pires journées malfaisantes
Quand la flore expose ses plus beaux atours
Ne reste qu’à apprécier et s’inonder des saveurs d’amour
Je pose l’ardente couleur du printemps par cette poétique étude
Fenêtre radieuse qui annonce l’éveil de la nature après l’hivernale quiétude
Les jardins se laissent fleurir et livrent dès maintenant leurs plus belles fleurs
Le matin, au brouillard dissipé les paysages brillent déjà de vives couleurs
Les jours frais chassent les temps de neige pour la bohème champêtre
Image de la belle saison qui s’éveille pour faire la faune et la flore renaître
A nos yeux les balbutiements du printemps déjà effacent de l’hiver la grise immobilité
Devant l’horizon d'azur, fier ciel de teinte bleutée s’offre la sereine légèreté
Je refuse
Ta science infuse
Qui se diffuse
Par ces idées confuses
Je ne suivrai pas l'aspect
Trop bien suspect
De ton intellect
Que je ne respecte
Va où le vent te mènera
Son souffle d'air te poussera
Loin de ces débats
Qui me rendent las
Je me sens si amer
D’être devenu ton adversaire
De tes pensées de travers
Je n'en veux que peu dans ma tanière
Je te conteste
Dans les avis indigestes
Que tu proclames et manifestes
Rien de ceux-ci en moi ne restent
Je discute
Je me dispute
Chaque minute
On se querelle, brutes
C'est le genre humain
De ne pas suivre un même chemin
Droit de chacun
D’être distinct