Ici c'est ma forêt
Où je décide de m'y balader
Où je respire la Nature
Avec arbres, fleurs et animaux c'est l'aventure
Je rêve d'un tableau, comme Mona Lisa
Et la Joconde me sourit
Je la vois toujours jolie ici
Où je m'en vais de-ci de-là
J'ouvre parfois un bouquin
Dans le calme des bois où je reviens
De cette tranquillité, sérénité
Ainsi je choisis de m'abreuver
Ici c'est mon bois
Où je décide de me languir
Où je vis mieux mon petit plaisir
Ma joie de marcher, de lire, d’être comme ça
Les fleurs que j'ai cueillies
Pour toi, ma jolie
Se sont fanées
Les fleurs que je t'ai offertes
Sont désormais inertes
Là sur le buffet
Les fleurs je les ai déposées dans un vase magnifique
Qu'elles puissent nous offrir un bonheur unique
Mais cela n'a pas marché
Les fleurs que j'ai coupées pour toi
Elles se sont abimées à cause de moi
Il me faut ne plus rien gâcher
Les fleurs que je n'aurais pas dû prendre
Ne sont plus le symbole de mon amour tendre
Elles meurent avec ma passion
Les fleurs qui resplendissaient au jardin
Sont désormais des bouts de rien
Je reste seul avec ce bouquet fané sans illusion
Les fleurs que j'ai empêchées de s'épanouir
Pour un pâle désir il m'a fallu les détruire
Mon amour avec les fleurs s'en va mourir
Les fleurs au jardin, je n'en ferai plus la cueillette
Je laisserai la nature telle qu'elle fût faite
A l'avenir, j'admirerai le jardin sans le flétrir
Installée dans la chambre Turquoise du Grand Hôtel De Paris
Il parait qu'elle s'y rend gaiement chaque fin de semaine
La gloire l'attend des heures durant par ses fidèles admirateurs
De sa profonde force, elle se fait à l'exercice et entame alors les critiques
Elle donne de sa superbe, et des discours sans soucis
Elle sait qu'on approuvera toute discussion qu'elle amène
Dans le monde des hauts débits, elle est Reine à toute heure
Elle siège et dirige, personne n'a le droit de contredire ses piques
Le monde magique d'internet roule par elle sur toutes les routes
Elle vient, elle va, elle s'emballe, se déballe, et eux, ils plient sans arrêt
Les Fans sont à la volonté de cette Miss Fouineuse embarqués
Ils doivent s'y immerger, sans rugir la laisser délirer coûte que coûte
Qu'est donc cet internet joyeux état d'âme pour Rumba Cha Cha, notre miss
J'entre en son antre, bien décidé d'y voir son journal et d'examiner ses écrits
Rien n'attire l'œil, des couleurs aux articles tenus tout est si terne, fortement gris
Tout donne envie d'aller parler aux marguerites sur le chemin d'Alice
Rumba Cha Cha, généreuse innocente vous offre son exquis dessert
Rumba Cha Cha, perdure dans son immense éclat pour ses amoureux
Rumba Cha Cha, donne, prend, exige, oblige, offre, soumet ses dires, pieux vœux
Rumba Cha Cha, je crois que mon poème ridicule trop pour elle dédié s'y perd
Rumba Cha Cha prône sa suffisance d'un certain bon Goût, de sa Moralité
Elle donne là d'analyses acerbes par petites saccades vers ses amis
Cela fait mouche, mais des autres, déjà loin, je ne dirai pas ce que prélude son avis
Un Lapin courant son temps rattraper, un Chat souriant qui disparait en forêt
M'amusent mieux que ses demandes et suites intégrales
Au Pays des Merveilles je vais rejoindre mes amis qui en ligne droite m'attirent
Adieu Rumba Cha Cha, de ton bain de siège je te laisse l'Empire
Adieu Rumba Cha Cha, de ton festival de mots, d'invectives je te salue mal
La bande s'actionne, elle lâchera trop peu son jouet
Le fait est là, elle a ses preux chevaliers, prêts à satisfaire leur Dame de Bien
Ils joutent et touchent en son nom les iconoclastes et nombreux païens
Qui osent défier la brave Inquisitrice et ne veulent s'y plier
Rumba Cha Cha loupera souvent l'affection pour un petit coup
De Plume qu'elle se fait préoccupation omnipotente
Se divertir d'écrit à en perdre ses années de grâce puissantes
Elle ne fait pas l'amour mais se damne d'une bonne écriture surtout
Quels Preux Chevaliers lui offriront leur nouveau Graal ?
Pour que de ses prières et dévotions les soulager elle puisse convenir
Rumba Cha Cha, de ton bain de siège je te laisse l'Empire
Rumba Cha Cha, de ton festival de mots, d'invectives je te salue mal
Rumba Cha Cha, généreuse innocente vous sert bon chaque écrit
Rumba Cha Cha, de son immense éclat vous prend l'âme, jolis amants
Rumba Cha Cha, donne, prend, exige, oblige, offre ses dires qu'elle porte au vent
Rumba Cha Cha, je crois que mon poème ridicule trop pour elle dédié se sent pris
Installée dans la chambre Turquoise du Grand Hôtel De Paris
Il parait qu'elle s'y rend gaiement chaque fin de semaine
La gloire l'attend des heures durant par ses fidèles admirateurs
De sa profonde force, elle se fait à l'exercice et entame alors les critiques
Elle donne de sa superbe, et des discours sans soucis
Elle sait qu'on approuvera toute discussion qu'elle amène
Dans le monde des hauts débits, elle est Reine à toute heure
Elle siège et dirige, personne n'a le droit de contredire ses piques