Les fleurs que j'ai cueillies
Pour toi, ma jolie
Se sont fanées
Les fleurs que je t'ai offertes
Sont désormais inertes
Là sur le buffet
Les fleurs je les ai déposées dans un vase magnifique
Qu'elles puissent nous offrir un bonheur unique
Mais cela n'a pas marché
Les fleurs que j'ai coupées pour toi
Elles se sont abimées à cause de moi
Il me faut ne plus rien gâcher
Les fleurs que je n'aurais pas dû prendre
Ne sont plus le symbole de mon amour tendre
Elles meurent avec ma passion
Les fleurs qui resplendissaient au jardin
Sont désormais des bouts de rien
Je reste seul avec ce bouquet fané sans illusion
Les fleurs que j'ai empêchées de s'épanouir
Pour un pâle désir il m'a fallu les détruire
Mon amour avec les fleurs s'en va mourir
Les fleurs au jardin, je n'en ferai plus la cueillette
Je laisserai la nature telle qu'elle fût faite
A l'avenir, j'admirerai le jardin sans le flétrir
Installée dans la chambre Turquoise du Grand Hôtel De Paris
Il parait qu'elle s'y rend gaiement chaque fin de semaine
La gloire l'attend des heures durant par ses fidèles admirateurs
De sa profonde force, elle se fait à l'exercice et entame alors les critiques
Elle donne de sa superbe, et des discours sans soucis
Elle sait qu'on approuvera toute discussion qu'elle amène
Dans le monde des hauts débits, elle est Reine à toute heure
Elle siège et dirige, personne n'a le droit de contredire ses piques
Le monde magique d'internet roule par elle sur toutes les routes
Elle vient, elle va, elle s'emballe, se déballe, et eux, ils plient sans arrêt
Les Fans sont à la volonté de cette Miss Fouineuse embarqués
Ils doivent s'y immerger, sans rugir la laisser délirer coûte que coûte
Qu'est donc cet internet joyeux état d'âme pour Rumba Cha Cha, notre miss
J'entre en son antre, bien décidé d'y voir son journal et d'examiner ses écrits
Rien n'attire l'œil, des couleurs aux articles tenus tout est si terne, fortement gris
Tout donne envie d'aller parler aux marguerites sur le chemin d'Alice
Rumba Cha Cha, généreuse innocente vous offre son exquis dessert
Rumba Cha Cha, perdure dans son immense éclat pour ses amoureux
Rumba Cha Cha, donne, prend, exige, oblige, offre, soumet ses dires, pieux vœux
Rumba Cha Cha, je crois que mon poème ridicule trop pour elle dédié s'y perd
Rumba Cha Cha prône sa suffisance d'un certain bon Goût, de sa Moralité
Elle donne là d'analyses acerbes par petites saccades vers ses amis
Cela fait mouche, mais des autres, déjà loin, je ne dirai pas ce que prélude son avis
Un Lapin courant son temps rattraper, un Chat souriant qui disparait en forêt
M'amusent mieux que ses demandes et suites intégrales
Au Pays des Merveilles je vais rejoindre mes amis qui en ligne droite m'attirent
Adieu Rumba Cha Cha, de ton bain de siège je te laisse l'Empire
Adieu Rumba Cha Cha, de ton festival de mots, d'invectives je te salue mal
La bande s'actionne, elle lâchera trop peu son jouet
Le fait est là, elle a ses preux chevaliers, prêts à satisfaire leur Dame de Bien
Ils joutent et touchent en son nom les iconoclastes et nombreux païens
Qui osent défier la brave Inquisitrice et ne veulent s'y plier
Rumba Cha Cha loupera souvent l'affection pour un petit coup
De Plume qu'elle se fait préoccupation omnipotente
Se divertir d'écrit à en perdre ses années de grâce puissantes
Elle ne fait pas l'amour mais se damne d'une bonne écriture surtout
Quels Preux Chevaliers lui offriront leur nouveau Graal ?
Pour que de ses prières et dévotions les soulager elle puisse convenir
Rumba Cha Cha, de ton bain de siège je te laisse l'Empire
Rumba Cha Cha, de ton festival de mots, d'invectives je te salue mal
Rumba Cha Cha, généreuse innocente vous sert bon chaque écrit
Rumba Cha Cha, de son immense éclat vous prend l'âme, jolis amants
Rumba Cha Cha, donne, prend, exige, oblige, offre ses dires qu'elle porte au vent
Rumba Cha Cha, je crois que mon poème ridicule trop pour elle dédié se sent pris
Installée dans la chambre Turquoise du Grand Hôtel De Paris
Il parait qu'elle s'y rend gaiement chaque fin de semaine
La gloire l'attend des heures durant par ses fidèles admirateurs
De sa profonde force, elle se fait à l'exercice et entame alors les critiques
Elle donne de sa superbe, et des discours sans soucis
Elle sait qu'on approuvera toute discussion qu'elle amène
Dans le monde des hauts débits, elle est Reine à toute heure
Elle siège et dirige, personne n'a le droit de contredire ses piques
Je suis amoureux d'une dame esprit
Frappeur de beauté et vagabonde comme le vent
Qui souffle dans ses lambeaux invisibles de peau
Je suis amoureux d'une revenante amie
Qui n'est que d'ombre et néant
Mais elle ne peut me toucher quand je rêve d'un geste haut
Elle me parle et m'énonce tant, douce et tendre être
Mais c'est le toucher de ses mains
Sur mon corps nu qu'il me faudrait
Je suis amoureux d'un spectre si effrayant
Qu'elle vole à travers murs et portes
Mais ne peut cependant pénétrer en ma chair
Je suis amoureux d'un fantôme, d'un esprit je suis l'amant
Gentille et belle uniquement avec moi et que m'importe
Qu'elle soit là de ses longues nuits de calvaire
Là où elle ne peut qu'apparaître et disparaître
Dialoguer dans la nuit et s'éteindre au matin
Me laissant las après une nuit où je m'activais
Seule sur le lit l'amante spectrale m'a regardé
Elle m'a admiré, m'a vu me donner si solitaire
Car elle ne peut jamais son amour m'offrir
Sombre et réelle illusion de notre amour fait
Elle part à l'aube levée, je pleure ma triste affaire
Je voudrais tant mourir pour la rejoindre et je soupire
Je suis amoureux d'une troublante Lady
Admirable beauté froide, elle me suit tout son temps
Elle reste là toute la vie lente qui s'écoule de moi
Je suis amoureux d'une étrange amie
Qui n'est qu'âme tourmentée, je la désire tant
On ne peut se toucher si nos envies veulent l'émoi
Torride été, il fait déjà bien chaud sur la plage où je me suis allongé
Tôt venu ce matin pour y goûter un peu le calme avant tant d'arrivées
Je me suis installé près d'une dune pour y trouver de l'ombre si nécessaire
Je viens profiter de l'endroit dès potron-minet, m'échappant de la cohue somnifère
Tu es apparue par ce plaisant matin, tu t'es installée à mon voisinage
Seuls pour une ou deux heures nous avons commencé notre bavardage
Vers les midis ardents, pendant notre tête-à-tête tu m'as proposé un rafraîchissement
C'est vers le proche bar que je pensais t'accompagner mais pas à ton emplacement
A ton hôtel nous avons été consommer non le breuvage que tu avais promis
Mieux encore, nos deux corps enlacés, nous nous sommes désaltérés d'une envie
Cette envie qui nous amena ici dans la chambre d'une récréation opportune
Un besoin que nous avons ressenti en nous révélant près de la dune
Tu voyais en mon maillot de bain grandir une forme appréciable
Qui te faisait aussi éprouver une sensation chaude et agréable
Ce libertinage à l'ombre de ta chambre nous a lié tout cet été
Et le souvenir estival reste pour toujours en moi gravé
Robert Francis Prevost
né le 14 septembre 1955 à Chicago, est un catholique américain.
Membre de l'ordre de Saint Augustin,
il est en poste au Pérou entre 1985 et 1998,
puis exerce des responsabilités à la maison-mère de son ordre
à Rome de 2001 à 2013.
Il est alors nommé évêque du diocèse de Chiclayo
(diocèse de l'Église catholique du Pérou)
Le 30 janvier 2023, il est nommé pour succéder au cardinal Ouellet
à la tête du Dicastère pour les évêques
et prend ses fonctions le 12 avril suivant.
Il est créé cardinal le 30 septembre 2023.
Il est élu sous le nom de Pape Leon XIV
ce jour du 8 mai 2025.
Date de fête :
3 mai
Date du martyr :
Ier siècle
Rôle / titre :
Apôtre
Saint Patron :
des chapeliers et des pâtissiers
Attributs :
une croix, les pains multipliés de l’Eucharistie, la pierre de son martyr
Dicton :
« Quand il pleut à la Saint Philippe, le pauvre n'a pas besoin du riche. »
Philippe fut l'un des douze apôtres accompagnant Jésus-Christ
d'après les évangiles et le livre des Actes des Apôtres.
Selon certains récits postérieurs dont les Actes de Philippe,
il aurait évangélisé d'abord le Nord-Est de la Grèce
avec des incursions en Parthie, puis principalement la Lydie,
la Scythie, la Syrie et enfin la Phrygie.
L'apôtre Philippe est un Galiléen originaire de Bethsaïde
sur les bords du lac de Tibériade, comme Pierre et André.
Comme André, Philippe est d'abord un disciple de Jean Baptiste avant de suivre Jésus.
Son nom (phi du verbe philein : aimer, et hippo : cheval)
peut évoquer une éventuelle ascendance paternelle grecque.
L'Évangile selon Jean rapporte comment il a été appelé par Jésus
et comment il en a fait l'annonce dans la foulée à son ami Nathanaël
(dont le nom apparaît seulement chez cet évangéliste
et que l'on identifie avec Barthélémy, également futur apôtre).
Face à son hésitation, Philippe se montre assuré
en entraînant son ami auprès de Jésus.
Toujours dans l'Évangile de Jean,
c'est à lui que Jésus s'adresse
avant la première multiplication des pains
et à qui se présentent des Grecs païens
cherchant à rencontrer Jésus
quatre jours avant la Crucifixion
et lors de la Cène,
c'est lui qui demande à Jésus de leur montrer le Père.
Toujours l'espérance est en notre raison
Quelques fleurs expriment le chemin de nos cœurs
En ce premier mai, je vous offre le bonheur
Rêves d'une joie éternelle que nous nous faisons
J'aime mieux du soleil chanter les louanges
Offrir le beau temps pour chacun
De belles images d'allégresse pour nos lendemains
Je laisserai tomber les larmes qui dérangent
Un muguet imaginaire que je présente à tous ici
Dans les brouillards de ces moments
Où l'on vit parfois les fêtes durement
J'espère en cette fleur virtuelle pour apaiser nos soucis
J’écrase tes belles crasses
J'écarte tes jolies cartes
J'assure qu'ici c'est sur
J’espère, tu perds
Je réalise tes beaux travers
Je sens qu'avec toi c'est dans le mur
Il faut que tu t’éloignes, que tu partes
De toi rien ne peut rester en place
Je compte oublier tes charmants contes
J'envoie ma vie sur d'autres voies
Je m’engage de sortir de cette cage
Je fuis ce qu'avec toi je suis
Mon avenir est loin d'ici
Loin je poserai mes bagages
J'ai d'autres intentions pour mon émoi
J'ai tant descendu, maintenant je monte
J’espace et je passe
J'évite et je fais vite
Je me barre ou tu pars
Sans se voir c'est au revoir
Je réalise qu'il va falloir
Je sens qu'il est venu le départ
Il faut que l'un de nous quitte
De toi rien n'aura plus de trace
Je vais enfin renaître de mes cendres
Je suis un phœnix qui laisse tout derrière
Je brille ailleurs sans tes détours
Je vivrai l'avenir sans me retourner
Mon devenir d'amour sera élevé
Loin je vole de mes ailes ce jour
Je devine un nouveau bonheur à me faire
Je me guéris et j'ai à nouveau tout à prendre
Jorge Mario Bergoglio
né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires
et mort le 21 avril 2025 au Vatican
De son élection en 2013 à sa mort,
il est évêque de Rome, chef d'État du Vatican
et 266e pape de l’Église catholique
sous le nom de François
en latin : Franciscus,
en italien : Francesco,
en espagnol : Francisco,
en anglais : Francis
Il était auparavant archevêque de Buenos Aires.
Premier pape issu des rangs de la Compagnie de Jésus
et premier pape non européen
depuis le pape syrien Grégoire III au VIIIe siècle,
François est aussi le premier pape issu du continent américain
et le premier à prendre ce nom, en mémoire de François d'Assise.
C'est Pâques je quitte mes rêves aux beaux nuages
Pour souhaiter à tous une bonne fête loin de tout orage
Oublions ces maux qui nous font tant souffrir
Oublions l'effroi en nos âmes et commençons à rire
Adieu aux désespoirs qui nous font une immense détresse
Que partent nos peines, que viennent nos joies sans cesse
La couleur blanche et la couleur grise de l’hiver je mettrai à l’honneur
De ce texte qui va dormir son sommeil à la bonne heure
Comme la nature qui s’endort et laissera la saison suspendre et apaiser tout
Les teintes grises, blanches de l’hiver venu s’installent partout
Le bonheur hivernal est tout de même là pour certains
Les sports, les jeux ou les balades dans la neige font la joie de lendemains
Si tout se repose et dort pour la flore et la faune de nos contrées
Reste aux humains quelque plaisir de vivre l’hiver à sa portée
J’esquisse ce jour sur mon poème les plus belles couleurs
De l'été dans un décor enchanté de bonheur
La nature s’éveille et resplendit au zénith de la saison
De ces teintes que j’offre sur mon texte à la population
La joie estivale et colorée qui pour chacun se présente
Efface les tristes pensées et les pires journées malfaisantes
Quand la flore expose ses plus beaux atours
Ne reste qu’à apprécier et s’inonder des saveurs d’amour
Je pose l’ardente couleur du printemps par cette poétique étude
Fenêtre radieuse qui annonce l’éveil de la nature après l’hivernale quiétude
Les jardins se laissent fleurir et livrent dès maintenant leurs plus belles fleurs
Le matin, au brouillard dissipé les paysages brillent déjà de vives couleurs
Les jours frais chassent les temps de neige pour la bohème champêtre
Image de la belle saison qui s’éveille pour faire la faune et la flore renaître
A nos yeux les balbutiements du printemps déjà effacent de l’hiver la grise immobilité
Devant l’horizon d'azur, fier ciel de teinte bleutée s’offre la sereine légèreté
Je refuse
Ta science infuse
Qui se diffuse
Par ces idées confuses
Je ne suivrai pas l'aspect
Trop bien suspect
De ton intellect
Que je ne respecte
Va où le vent te mènera
Son souffle d'air te poussera
Loin de ces débats
Qui me rendent las
Je me sens si amer
D’être devenu ton adversaire
De tes pensées de travers
Je n'en veux que peu dans ma tanière
Je te conteste
Dans les avis indigestes
Que tu proclames et manifestes
Rien de ceux-ci en moi ne restent
Je discute
Je me dispute
Chaque minute
On se querelle, brutes
C'est le genre humain
De ne pas suivre un même chemin
Droit de chacun
D’être distinct
Dans un coin de mon cœur, une table usée,
S’étend le plateau aux cases à chevaucher,
Petits pions de bois, en attente d’un sort,
Je lance le dé, et ma quête commence encore.
Dans ce jeu ils flottent comme des échos,
Les mouvements qui tracent nos chemins,
Des pleurs de sombrer, des joies de réussir et là, bravo
Sur ce champ de bataille, le gagnant vient.
Les petites chevaux avancent, hésitants, prudents,
La grâce du jeu réside dans chaque instant,
Parfois la chance sourit, parfois elle se tait,
Un voyage partagé, où l’on sourit, où l’on essaie.
Les heures s’égrènent, le temps suspendu,
Les regards complices se croisent sans fin,
Dans cette danse enfantine, nous sommes revenus,
À l’innocence perdue, à un demain serein.
Alors que les chevaux tracent leur destin,
Le monde extérieur semble s'effacer au loin,
Nous jouons et avançons sans encore savoir le final,
Un simple jeu de société, ce reflet bien amical.
Revenons un jour, comme on revient en rêve,
À ce petit plateau, à ces souvenirs fous,
Car le jeu des petits chevaux, doux et sans trêve,
Rappelle à notre cœur l’enfant qui est en nous.
Dans un plateau de cases, le jeu va commencer
Des cases colorées se présentent, on lance nos dés
Une oie enjouée, guide de notre voyage,
Nous entraîne ensemble, au coeur de son paysage.
Oh, dansez, mes amis, sur le chemin doré,
Chaque pas est une aventure qui là nous fait marcher
Les dés roulent et chantent, on se fait des souvenirs,
Au jeu de l'oie, c'est la joie et du plaisir
Un pas vers la chance, un autre vers une chute,
Des amis qui s’amusent bien au fil des sensations,
Le bonheur marche dans chaque hésitation
Les pièges et les trésors tissent notre but.
Oh, riez, mes amis, en ce sentier coloré,
Chaque mouvement est une aventure, un souvenir.
Les dés qui ici roulent et décident de notre plaisir
Au jeu de l'oie, chacun découvre son avancée
Les ponts à enjamber, les rivières à traverser,
À chaque tournant, une histoire va se raconter,
Le sort qui ici se joue nous sourira t il ?
A chaque partie les pions se faufilent
Oh, dansez, mes amis, sur le chemin doré,
Chaque pas est une aventure qui là nous fait marcher
Les dés roulent et chantent, on se fait des souvenirs,
Au jeu de l'oie, c'est la joie et du plaisir
Quand la partie se finit, on rend nos dés
Ensemble, nous avons avancé au jeu de nos destins
Car au jeu de l'oie, la vie est un joyeux festin.
Les rires scintillent, va t on recommencer ?
Oh, riez, mes amis, en ce sentier coloré,
Chaque mouvement est une aventure, un souvenir.
Les dés qui ici roulent et décident de notre plaisir
Au jeu de l'oie, chacun découvre son avancée
Dans l'attente d'une partie, les dominos s'alignent,
Petites pierres noires, blanches à leur côté,
Chaque pièce se pose, une danse se dessine
Un monde en équilibre, prêt à s’élever.
Les mains s’agitent, tout commence, le coeur palpite,
Des tactiques s’entrelacent, le jeu vient s'éparpiller
À chaque mouvement, l'émotion s'invite,
La joie se déploie en cette douce activité.
Comme un enfant sage, ce jeu nous rappelle,
Que la vie, parfois, s'articule aussi en jeux,
Où les lignes se tissent, et les esprits s’emmêlent.
Au fil des parties, des stratégies naissent,
Un domino tombé révèle une erreur, un moment heureux,
Dans nos existences simples, quel est le vainqueur qui se dresse ?
Tous les osselets dont on joue sont beaux
Tous les osselets brillent sous nos mains expertes
Tous les osselets sont de fins instruments à nos jeux
Il faut agiter de nos mains ces petits os
Et d'aventure gagner la partie ouverte
Avec ses amis s'occuper avec ces petits outils curieux
Tous les osselets dont on joue sont jolis
Tous les osselets brillent sous nos mains d'amateurs
Tous les osselets sont nos nouveaux jeux découverts
Il faut les agiter de nos mains et lancer la partie
Pour gagner car ce petit jeu veut un bon vainqueur
Devant nous de ses petits cailloux qui s'affairent
Tous les osselets dont on joue sont agréables
Tous les osselets brillent sous nos mains intéressées
Tous les osselets sont des joujoux ramenant notre jeunesse
Il faut agiter à notre logis, ces petits os sur la table
Une bonne aventure sur le tapis s'offrent aux captivés
Entre amis on manipule les petits outils avec liesse
Tous les osselets dont on joue sont délicats
Tous les osselets brillent dans l'extase de notre jeu
Tous les osselets en cet attirail pour s'appliquer
Il faut les agiter de nos mains et voir le résultat
Perdre ou gagner la partie on est totalement heureux
D’être entre amis et quelque temps s'amuser
L'hiver s'en va, il passe, voilà le printemps qui se signale
Les plantes de nos jardins et forêts vont recommencer à pousser,
L'hiver passant on se réveille et déjà on sent des ailes se déployer
Revivre et se préparer dès lors pour ces mois de l’année d'ensoleillement estival
Les fleurs vont recevoir les premières bienfaisantes pluies
Toute la nature autour de nous semble renaitre enfin
Nous aussi recevons ces bienfaits de la vernale saison chaque matin
Les jours s'allongent et la sève monte déjà en nos corps endormis
Au Printemps je ne pense qu'à toi, toi qui m'a, en cet après midi printanier, goûté
Toi qui m'as fait naître, m'enthousiasmer toute mon existence par cet amour grisant
Cette renaissance saisonnière me rappellera toujours comment tu as su m'apprivoiser
Me chérir dans une couche improvisée, au fond du foin notre candide amour fût brûlant
Tu as engagé des caresses en parcourant mon corps de tes baisers intimes
J’ai pris moi aussi en bouche tes délicieuses courbes dont je suis amateur
Mon dard insecte prés de ton bouquet s’approcha d’un bonheur sublime
Puis tel un horticulteur j'ai pénétré en ton jardin secret pour y cueillir la fleur
Moi, ton maître, j'ai bien voulu ressentir l'étrange parade, j'ai tant adhéré à ton ivresse
J'y ai répondu alors de ce que tu venais de m'initier en ce jour de notre attirance de jeunesse
Oh Printemps ! Jolie saison de l'éveil, de l'émoi et des infinis désirs de tout amoureux
Tu fais tant chuter dans d'inouïes extases qui pourtant ouvrent l'Olympe des Dieux
C8, abréviation de Canal 8,
est une chaîne de télévision généraliste nationale privée française
créée le 31 mars 2005 sur la TNT par le groupe Bolloré.
Vincent Bolloré a présenté le projet Direct 8 devant le CSA,
qui l'a retenu et lui a accordé une licence de diffusion
le 23 octobre 2002.
Initialement nommée Direct 8,
elle devient D8 lorsqu'elle est vendue
au groupe Canal+ par le groupe Bolloré.
La chaîne porte son nom actuel depuis le 5 septembre 2016.
En 2024, son autorisation d’émettre sur la TNT n'est pas renouvelée
par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom).
*******
Mais dans une de ses émissions Cyril Hanouna révèle
qu'un proche du président Macron, et ennemi d'Hanouna
aurait ainsi organisé la destruction de la chaine
avec quelques amis de l'ARCOM
jugeant qu'il mettait sur la place publique des choses
a tenir secret et ne pas reveler au gentil peuple de France
La fermeture de la chaine n'est une attaque politique
contre l'animateur, Cyril Hanouna, qui, dans ses émissions
donnait et assurait la parole à tous,
liberté d'expression aussi bien aux gilets jaunes
qu'à ceux qui étaient anti vaccin COVID
*******
Un recours est déposé par le groupe Canal+ auprès du Conseil d'État,
contre la décision de l’Arcom mais il est rejeté le 19 février 2025.
Conformément au non renouvellement de son autorisation,
la chaîne doit cesser d'émettre sur la Télévision numérique terrestre nationale,
le 28 février 2025 à minuit.
Pour cacher cette politique attaque, et ne pas laisser C8 partir seule
dans cet univers impitoyable de la télé
une autre chaine sera aussi fermée ce soir là
celle qui a le moins d'audience de toutes les chaines TNT gratuites
c'est NRJ12
C8 est, avec NRJ12, la troisième chaîne nationale française privée
à voir son autorisation d'émettre supprimée,
après la chaîne musicale TV6 en 1987
puis La Cinq en 1992, à la suite de sa faillite.
infos d’après WIKIPEDIA
Quand l’été s’efface d'un soupir enjoué,
Les feuilles, en velours, s’ornent d’or et de feu,
Sous un ciel déjà assombri, la brise danse un jeu,
Évoquant l'estivale suavité que je veux préserver.
Les jours s’allongent, mais la lumière faiblit,
Les eaux coulent des forces de pluies arrivées,
Le parfum des châtaignes, un écho de l’année,
Éveille en moi des chimères, des plaisirs fleuris.
Oh doux automne, toi, l’ami des solitaires,
Tes couleurs embrasées, tes ombres apaisées,
Racontent les heures légères d’hier.
En toi se mêlent des pleurs d'averses dorées,
Tandis que la nature, dans un souffle éphémère,
S'endort doucement sous les feuilles tombées.
Dans la lumière d’une journée dorée,
Sous le ciel bleu qui nous a enchantés,
Des vagues valsent, doux murmures marins,
A la plage, un sable chaud nous accueille en chemin.
Oh, saison d’été, tes heures sont un trésor,
Où les joies s’élèvent comme un accord,
Les enfants se bâtissent au sable des châteaux de rêve,
Sur la plage nos corps chauds sentent un léger vent qui se lève,
Champs et bois de promenades nous délassent,
Oh, saison d’été, le bonheur se faufile et passe,
Notre nature s'offre en parfaite communion,
A nos âmes apaisées dans cette charmante saison.
Des paysages brillent au doux soleil,
Chaque pas en un spectacle de pure merveille,
Frissons des embruns, douces clartés en foret, voilà un gentil souvenir,
D'un temps gravé en nos mémoires à plaisir.
Dans le jardin où les roses fleurissent,
Un vent frais souffle des douceurs qui s'unissent
Le printemps aux pétales en labeur,
Porte avec lui les temps de bonheur
Sous un ciel bleu pas de vague à l’âme,
Les fragrances des fleurs inondent nos espoirs,
Si des ombres croissent, la foi se clame,
Au jour qui se teinte viennent d'agréables soirs.
Les ruisseaux chantent des notes brumeuses,
Réveillant nos songes à l'aube qui parait
Leurs eaux barbotent de promesses inespérées
D'une joie fugace, d'une sérénité langoureuse
Les oiseaux, comme des elfes en quête,
S'élèvent vers des cieux trop souvent gris,
Fredonnant chaque instant par leurs cris
Tant de parfums et de joies de fête,
Oh, printemps, beauté aux éclats fragiles,
Ta lumière s'accroche à nos illusions,
Nous laissant la mélancolie, docile,
D'un souvenir qui se perd, de vieilles passions.
Quand viendra le temps de ta douce fin,
Et que l'été viendra déjà pour demain
Nous garderons caché en nos coeurs
Le souvenir d'un bonheur en fleur.
Dés cette matinée déjà bien glacée,
Les flocons, comme des rêves, flottent légers
Dans les bois les arbres, squelettes de cristal,
Dorment pendant cette énergie hivernale
Les rues sont vides, quelques bruits de pas
Ou de véhicules passant, la neige absorbe les murmures
En ce blanc infini, je me perds dans la froidure
Solitaire, je suis ombre, petit souffle de vie, là
Au cœur du frimas, j'avance en mon sentier
De la beauté d'un monde endormi, je respire
J'aime ce que cache la nature en ce temps pétrifié
A chaque fois découvrir une esquisse fait plaisir
Mon corps bien vêtu pour recevoir la chaleur,
Je pense aux souvenirs d'été, chaud bonheur
Dans l'éclat de lumière fait de gris et de blanc
En cet hiver j'apprécie mon confort bienveillant
L'amour est arrivé ce jour
Fête de Saint Valentin pour les amours
Pour tout ceux qui aimaient, aiment ou aimeront
Nous fêtons depuis cette matinée l'éternelle passion
Un grand calme résonne sur les amoureux
Seuls ils se chérissent enfin heureux
Loin de la tristesse quotidienne qui tourbillonne
Ils honorent la félicité quand ils s'abandonnent
Saint Valentin à travers l'espace et le temps
Porte l'amour toujours et encore mieux maintenant
Tous les amoureux réunis et bénis par lui
Chantent leur union ardente si jolie